Qu’est-ce qu’il se passe quand un jeu qu’on a adoré sur PS Vita se voit porté pour PS4 ? Et bien on le teste, évidemment ! Voici donc mes impressions sur Les Chevaliers de Baphomet 5 dans sa version PS4.
[UPDATE] Version PS4
En ce qui concerne l’histoire principale : aucun changement à ce sujet, vous retrouverez (ou re-retrouverez pour les joueurs Vita) nos deux héros George et Nico dans une mystérieuse histoire de meurtre qui commencera à Paris et se poursuivra dans de nombreux lieux tout au long de l’aventure. Evidemment, contrairement à la version PS Vita, pas de scindage, les 2 épisodes sont réunis ici dans un seul et même jeu 🙂
Le système de jeu n’est pas trop modifié, nous restons dans du Point’n’Click classique, mis à part que l’écran tactile de la PS Vita a été troqué contre la DualShock 4 sur laquelle vous pouvez choisir le contrôle aux sticks ou au pad. Je vous déconseille la seconde méthode qui part d’une bonne idée mais un peu trop fastidieuse à mon goût…
Au niveau de l’univers graphique, le jeu reste dans de l‘univers 2D avec quelques pointes de 3D pour un rendu très sympa visuellement. La PS4 s’offre même en bonus des petites animations dans les décors, discrètes certes, mais qui rendent les scène plus animées.
Dernier gros apport à la version PS4, et pas des moindres en ce qui me concerne, l’ajout d’un trophée Platine ! Le reste des trophées est quasi identiques à ceux des épisodes 1 et 2 connus sur PS Vita. La plupart s’obtiendront naturellement mais attention tout de même, quelques uns sont « missables » (donc prenez un guide si vous ne voulez pas vous retaper un run complet… mais attention au spoilers…)
Bilan des courses : c’est toujours avec un grand plaisir que je retrouve cette aventure, mais cette fois sur grand écran, DualShock en mains. Même note pour cette version, en considérant qu’on perd d’un côté le tactile et la praticité de la PS Vita mais en parallèle nous gagnons quelques ajouts bien sympa.
Si ce n’est pas déjà fait, je vous invite à lire mon test de la version PS Vita ici :
J’ai aimé | J’ai moins aimé |
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