Et non ce n’est pas fini ! Voici une nouvelle petite sélection de titres vus par notre petit Ciderman et moi-même lors de cette dernière Gamescom. Et comme vous allez le voir, il y a encore de très beaux titres 😉
Just Cause 3
C’est posé dans un stand à l’image du jeu, du grand nawak avec un parasol, du sable, des coquillages, un lance-roquette,… que l’on a pu nous présenter le prochain Just Cause, déjà bien connu pour son côté déjanté.
Pour ce nouvel opus, on prend les mêmes ingrédients et on recommence ! Le but est toujours le même, ne pas faire le plus beau jeu avec le meilleur scénario du monde (ici le méchant sera … un dictateur) mais simplement faire un bon gros divertissement hyper fun à jouer.
Just Cause 3, c’est un jeu d’action en vue extérieure et en open world mais c’est aussi la possibilité d’attacher 2 voitures pendant une course poursuite, se servir du dessous d’un hélicoptère comme plateforme pour tirer, de comboter conduite de voiture / déclenchement du parachute / déclenchement du wingsuit, graber une voiture avec son grappin pour monter dessus, virer un pauvre agriculteur de son tracteur pour rouler avec ensuite… bref du nawak ! Et si l’envie vous venait d’avoir un hélicoptère ou un autre véhicule précis et d’une arme, pas de souci, il suffit de se faire larguer tout ça par les airs, comme ça, à brûle-pourpoint !
Le joueur aura également la possibilité de faire évoluer ses habilités (wingsuite, conduite, combats, …) au fil du jeu et des objectifs remplis. La map n’est pas forcément plus grande que pour Just Cause 2 mais sera tout de même aussi grande et permettra d’avoir une belle aire de jeu.
Le petit hands-on portait sur quelques défis disponibles (parcours de wingsuite, destruction massive à coup de lance-roquette et de tank) mais bien sûr, ce que l’on appréciera le plus, c’est de parcourir la map en foutant le bordel ! Pour cela, il faudra attendre sa sortie, prévue pour le 1er décembre 2015 sur PC, PS4 et Xbox One.
Mad Max
Après le succès critique du dernier film, la tâche est rude pour Warner BRos de nous pondre un bon jeu dans cet univers très riche qu’est Mad Max.
Ce jeu sera donc tiré du film mais pas l’histoire ni les personnages, mise à part notre petit Max bien sur qui évoluera dans un open world dont la map a l’air assez grande et assez fournie pour y passer de nombreuses heures. Le joueur pourra donc se balader comme bon lui semble en passant par la case « customisation » de sa voiture, ce qui permettra de la rendre de plus en plus performante et badass ! Lors de la conduite, Max pourra compter sur son acolyte, placé au-dessus de la voiture, qui pourra la réparer lorsqu’elle en aura le besoin ou lors des combats avec d’autres véhicules. La conduite est assez cool (bien que le drift soit légèrement trop prononcé) et le tout est assez fluide donc c’est assez agréable de se balader dans le monde proposé.
Max aura bien sur la possibilité de se castagner lors de ces multiples quêtes et les combats promettent d’être bien brutaux puisqu’on entend assez vite les os craquer après quelques coups de poings bien placés. Le joueur aura également la possibilité de finir les combats avec certains coups encore plus violents et le système de contre (qui consiste simplement à appuyer sur le bouton triangle), qui a été repris à Batman, ajoute au dynamisme du combat.
Bref, je partais avec un avis un peu pessimiste et dubitatif sur ce jeu que je pense toujours sorti trop tard par rapport à la hype du film mais au final, il se pourrait que ce Mad Max soit, grâce au bon choix du système de jeu et au monde recréé, une bonne surprise !
Sortie le 3 septembre sur PC, PS4 et Xbox One. Et ouais, dans deux semaines les enfants !
Guild Wars 2 : Heart of Throns
Heart of Thorns est la première grosse extension de Guild Wars 2 et celle-ci apportera son petit lot de nouveautés. Nouvelle région, nouvelle profession, un hall de guilde, un nouveau mode PvP, mais les principales nouveautés se situent au niveau des mécaniques de maîtrise (les mastery points) et de spécialisation.
L’axe de progression du personnage a été repensé grâce à ce système de « maîtrise » qui permet à tout personnage de niveau 80 minimum de débloquer certaines facultés (exploration, culture, combat, légende, fractale) qui pourront lui être affectées selon les points remportés lors de diverses quêtes, objectifs ou suite à l’accession à une zone de la map. Concernant la spécialisation, celle-ci devra être sélectionnée en fonction de sa profession initiale. Des parcours de compétences ont également été ajoutés afin de déverrouiller des compétences, aptitudes, spécialisations et autre objets.
Bien sur, Guild Wars reste axé pour du multi/coop afin de venir à bout des plus gros boss lors de combats légèrement plus dynamiques notamment.
Cette extension, qui bénéficiera d’ajouts gratuits de facultés de maîtrise au fil du temps, est toujours en beta test et ne possède pas encore de date de sortie.
PES 2016
Pour fêter son 20ème anniversaire, PES revient en force avec son édition 2016. Nous avions pu voir l’année dernière un PES 2015 qui était revenu à la charge, mais Konami nous sort encore ici une version aux petits oignons, qui réduit grandement la marge qu’avait installé EA dans la bataille FIFA vs PES.
Au programme pas mal de nouveautés comme le retour de la customisation avec l’importation d’images qui permettra de palier à certaines licences manquantes et rendre encore plus réalistes vos équipes préférées.
Autre ajout : la météo dynamique qui permettra d’avoir un temps pouvant être différent entre le début et la fin du match, ce qui pousse encore le réalisme un peu plus loin. En parlant de réalisme, j’ai trouvé la fluidité des mouvements améliorée mais surtout, la modélisations des joueurs (notamment les stars) bluffante. Un des modes phares de PES, la League des Masters a subi pas mal d’améliorations également.
Autre news tombée pendant la Gamescom : Konami vient d’obtenir l’exclusivité de la licence UEFA, ce qui promet de belles surprises pour le futur de PES. Soyons encore un peu patient et voyons ce que va nous donner ce beau cru PES 2016 qui sortira le 17 septembre prochain sur PS4, PS3, Xbox One et Xbox 360.
Homefront : The Revolution
Homefront : The Revolution est un FPS en open world qui se passe dans la ville Philadelphie (ville d’où est partie la révolution américaine), 2 ans après les événements d’Homefront sorti en 2011.
Le moteur graphique CryEngine 4 étant utilisé, on se retrouve avec un FPS loin d’être moche mais le tout manque cruellement de fluidité. Au-delà de ça, les développeurs et Deep Silver ont une réelle volonté d’inventer des histoires plausibles selon les événements qui ont pu se passer à Philadelphie, ville alors dévastée par la rébellion.
Ce niveau testé sur Xbox One m’a permis de voir qu’il restait pas mal de taf aux développeurs pour gommer cette impression de lourdeur de son personnage et de ses déplacements (le fait de devoir pousser au maximum son stick analogique gauche pour le faire courir sous peine de voir le personnage se remettre à marcher est juste insupportable ! (ou c’est la manette de Xbox One peut être…)). Cela dit, les armes sont plutôt sympa à utiliser (exemple la petite voiture télécommandée qui explosera à distance), la customisation des armes où l’on peut sélectionner ce que l’on va mettre dans son chargeur ou ce que l’on va utiliser pour son viseur par exemple est plutôt bien pensé (à voir si l’incidence sera importante sur le long terme) et le téléphone sur lequel on peut regarder la map, les logs, les diverses techniques de combat,… est plutôt sympa.
C’est en tout cas assez agréable de se déplacer dans cette ville de Philadelphie grâce à une bonne impression de liberté, mais qui sera vite calmée lors des apparitions de drones qui appelleront d’autres troupes ennemies. La meilleure des solutions sera alors la fuite lorsque la situation sera irrécupérable. Sortie prévue pour 2016 sur PC, Mac, Linux, PS4 et XboxOne.
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